Enraciné sur les collines niçoises, le vignoble de Bellet est l’un des plus anciens de France et sa plantation remonte à l’époque romaine. Son identité, liée à la vie des familles niçoises, se dévoile par la typicité de ses cépages autochtones et la qualité de ses arômes.

Cette appellation confidentielle est tournée à la fois vers les Alpes et le massif du Mercantour et la baie des Anges. Le Bellet est le seul vignoble urbain possédant une AOC implanté totalement sur une grande agglomération.
Ce vignoble de collines au bord de la mer repose sur des terrasses graveleuses. Il est complanté de cépages originaux qui donnent naissance à des vins blancs aromatiques, à des vins rosés soyeux et frais, à des vins rouges charnus.

Présents sur les plus prestigieuses tables du monde,  chacun peut mesurer la valeur considérable des vins de Bellet qui contribuent à la notoriété de Nice et de la Côte d’Azur.

Face à notre maison d’hôtes, le Château de Bellet. La famille de Bellet a fondé son domaine sur les hauteurs de collines de Nice en 1777 . Cette famille originaire de Savoie a donné son nom à l’appellation a fêté en 2011 ses 70 ans, ce qui fait du vin de Bellet, l’une des plus anciennes A.O.C.

Les vignes de Château de Bellet entourent l’ancienne Chapelle familiale. Cette chapelle a été édifié en hommage à Agnès Roissard de Bellet, disparue à l’âge de 23 ans.

Cette chapelle dominant les collines ouest de Nice, a été bâtie avec les pierres de la carrière de La Turbie. Ce sont ces mêmes pierres qui ont servi à la construction de la cathédrale, du casino et du musée océanographique de Monaco.

La réputation des vins de Bellet est internationale et ancienne. Thomas Jefferson appréciait déjà, le « grand cru » de Nice. Cette notoriété perdure aujourd’hui et les vin de Bellet sont à la carte des étoilés Michelin et accompagne les plus grandes occasions : le sommet de Versailles en 1982, le sommet européen de Nice en 2000 ou encore l’Otan en 2005. Le vin rouge du Château de Bellet et le blanc du Clos St Vincent a été sélectionné par Alain Ducasse à l’occasion du mariage monégasque du Prince Albert et de la Princesse Charlène.